Le son est plus chaleureux que son homologue en bouleau car il a souvent plus de basses fréquences. C'est pourquoi il est très utilisé dans le rock. Il possède tout de même un bon équilibre entre basses, moyennes et hautes fréquences et offre beaucoup de sustain. Batterie Sonor en érable Acajou (Mahogany) En terme de son, l'acajou se rapproche de l'érable mais avec un son plus profond et plus grave. Hêtre (Beech) Si le hêtre est moins utilisé que les trois bois précédents, il n'en est pas moins très bon. Il représente un bon compromis entre l'érable et le bouleau en ayant un son projeté, puissant et chaleureux à la fois. Bubinga (Bubinga) Ce bois est surtout utilisé dans les fûts haut de gamme. Le bubinga a beaucoup d'attaque, beaucoup de sustain, et il délivre un son chaleureux et sombre. Snare Tama en bubinga Lauan (Lauan) Aussi appelé acajou de Philippines pour des raisons commerciales, ce bois est en fait très différent de l'acajou Africain, il est beaucoup plus clair. Le lauan est parfois mélangé à un autre bois tel que le bouleau dans la fabrication de batteries de niveau intermédiaire.
Bonne nouvelle: l'équipement pour obtenir le plasma s'intègre facilement à une chaîne de production industrielle. Quant à la batterie, sa densité d'énergie n'est pas suffisante pour des appareils mobiles ou des véhicules, mais elle se révèle tout indiquée pour stocker l'énergie d'éoliennes ou de panneaux solaires. Son avantage est de taille: elle ne risque pas de prendre feu ou d'exploser ni d'entraîner le déversement de produits chimiques dans la nature, en plus de promettre un recyclage plus simple en fin de vie. Ont aussi participé à la découverte: Erica Tomassi, Elsa Briqueleur, Mickaël Dollé et Luc Stafford, de l'Université de Montréal, ainsi que David Aymé-Perrot, de l'entreprise Total. De gauche à droite: Jacopo Profili, Steeve Rousselot, Erica Tomassi, Elsa Briqueleur, Luc Stafford, Mickaël Dollé et David Aymé-Perrot. Images: Ludovic Gauthier; Guitron Alejandra
Des chimistes et des physiciens ont trouvé la recette pour fabriquer à moindre coût une batterie aux ions de lithium plus sécuritaire et plus verte. Les espoirs de la transition énergétique reposent en grande partie sur les batteries aux ions de lithium. Leur capacité à stocker l'énergie pourrait propulser la production d'électricité par des sources renouvelables irrégulières comme le vent et le soleil. Mais il y a une ombre au tableau: leur conception nécessite des produits néfastes pour la santé, la sécurité et l'environnement. Pour comprendre la source du problème, revenons à leur fonctionnement. « Le but des batteries, c'est de faire des cycles de charge-décharge le plus grand nombre de fois possible », résume Steeve Rousselot, chercheur au Département de chimie de l'Université de Montréal. Une batterie possède deux électrodes. L'une d'elles est bourrée d'ions de lithium. Au moment de fournir de l'énergie, ces ions rejoignent l'autre électrode en passant par un liquide appelé électrolyte.
t'a le bouleau aussi. pour que ta baguette soit "parfaite": les trucs a avoir a l'identique sur chaque baguettes -le poid -la forme du col (la partie conique) -la longueur -le diam -l'olive en roulant les baguette sur une table; elle doivent tourné rond, pas comme une patate(baguette tordue) 2 € la paire Le 14/01/2012 01:17 C'est ça. C'est ce que coûtent deux baguettes, à la boulangerie Plus sérieusement, je te conseille d'apprendre les essence de bois. Chacune a sa spécificité: le poids, la résistance, la vibration, la dureté des fibres, la densité, la couleur, etc.... Si les fabricants n'utilisent que certaines essence, c'est parce qu'elle ont été éprouvées dans ce domaine. On pourrait imaginer des baguettes en noyer, mais c'est cher. Ou en bois de rose, mais c'est encore plus cher. Les bois africains (oukoumé ou nyango) sont très bons marché, très résistant, facile à usiner. Citation: Je peux disposer d'un tour à bois c'est un bon début pour tourner des baguettes. Avec un copieur, tu pourras réaliser toutes les formes et styles qui existent dans le commerce, mais saches que n'es pas le premier à t'y essayer...
Quand la batterie est rechargée, ces ions parcourent le chemin inverse, toujours à travers l'électrolyte. Dans chaque électrode, un produit maintient ensemble les divers composants, un peu comme l'œuf qui lie les ingrédients d'une pâtisserie. Or, règle générale, ce liant est un polymère à base de pétrole dissous dans un solvant organique nocif pour la santé. Quant à l'électrolyte de la batterie, il est généralement constitué d'un solvant organique inflammable et difficile à recycler. D'autres solutions moins coûteuses, plus sécuritaires et plus vertes existent déjà. Les batteries aux ions de lithium dites aqueuses, par exemple, fonctionnent avec un électrolyte à base d'eau. Pour ce qui est des électrodes, leur liant peut être un produit beaucoup moins polluant issu des résidus forestiers: la carboxyméthylcellulose (CMC). Le hic? Ces deux options ne sont pas compatibles, car la CMC est soluble dans l'eau. Si une électrode formée grâce à ce liant fonctionne bien avec un électrolyte à base d'un solvant organique, elle se décompose au contact d'un électrolyte à base d'eau.
La couche composite, déposée sur le collecteur assurant la conduction, contient le phosphate de fer lithié, qui emmagasine les ions de lithium, du noir de carbone et la fameuse CMC. La membrane de plasma protège la couche composite de la dissolution au contact de l'eau tout en laissant passer les ions de lithium. Graphique: Agence Impakt Scientifik Une électrode conçue à l'aide de la CMC est donc placée dans un appareil à l'intérieur duquel un gaz, l'hélium ou l'azote, est transformé en un plasma. Un liquide, l'hexaméthyldisiloxane, est diffusé à l'intérieur. Les fragments de molécules instables alors créés interagissent avec la surface de l'électrode pendant quelques dizaines de minutes pour y former une mince couche protectrice, de l'ordre du nanomètre, aux propriétés hydrophobes. « Elle empêche la dissolution de l'électrode dans une batterie aqueuse », mentionne Steeve Rousselot, coauteur de l'article. Et même si ce revêtement repousse l'eau, « il permet quand même le passage des ions de lithium pour charger et décharger la batterie », ajoute-t-il.
Du moins, elle se décomposait jusqu'à ce que des chercheurs de l'Université de Montréal trouvent la recette pour l'intégrer dans une batterie aqueuse. Tant leur procédé que leur produit ont fait l'objet d'une demande de brevet en juin 2019, puis d'une publication dans ACS Sustainable Chemistry and Engineering en février 2020. Steeve Rousselot et ses collègues du Laboratoire de chimie et électrochimie des solides s'échinaient à réduire l'impact environnemental des batteries quand ils ont eu vent de travaux qui avaient le potentiel de les aider. Ils n'ont pas eu besoin d'envoyer un courriel ou de passer un appel. Ils n'ont eu qu'à marcher jusque chez leur voisin, le Département de physique: on y expérimentait l'effet du plasma sur du bois et de la cellulose. Un gaz se transforme en un plasma lorsqu'on le soumet à une tension électrique. La matière devient instable et change d'état, comme c'est le cas dans une aurore boréale ou un éclair. « Avec cette énergie importante, on peut former certaines liaisons entre atomes et molécules qui seraient très difficiles à faire en chimie classique, et ainsi créer de nouveaux matériaux », souligne Jacopo Profili, physicien et auteur principal de l'article.